1)- Particule présentative d'un nom ou d'un pronom ; o "x"..., c'est "x"... 2)- Simple particule d'appartenance : du, de la, des.

Particule pré-verbale indiquant la prévention : de peur que.
Oa hei aa ! Qu'importe ! Qu'est-ce que cela peut bien faire ?

Mot base : être long, loin, haut de taille.

1)- Nourriture, vivres.  2)- Guérir, se guérir.

Être ou avoir long en taille et en temps ; la longueur, la durée.

Le mois d'octobre.

Te oatea : le grand jour, l'après-midi.

Pronom personnel de la deuxième personne du singulier = tu, toi. (À Ùa Pou, on dit koe). Pas plus que dans les autres langues polynésiennes, on ne trouve en marquisien de forme de politesse équivalent au vouvoiement français ; dans le Pacifique, le tutoiement est de rigueur dans les langues vernaculaires.

Te òè : le coco vert.

E oha : s'incliner, se pencher, se courber.

Lorsque, quand.

A oho te ìi ! : Courage ! Tenez/tiens bon !

1)- Ohotu nui : nom de la nuit de la pleine lune. 2)- En vogue, à la mode, « tendance ».

Remuer, agiter, bouger.

E òì : se flétrir, se faner.

1)- Avant que, devant un verbe 2)- De peur que, devant un verbe.

Voici ; oia hoì : c'est à dire.

Demain ; le futur, l'avenir.

E oka : mettre un vêtement ; introduire.

Te okaoka : une fourchette.

Te oke : la faim ; haaoke, jeûner.

De nos jours : un lit ; autrefois partie interne et postérieure de la maison où l'on dormait, le long de la toiture qui descendait au niveau de la plateforme.

Mot base 1)- Fort, solide 2)- Très ; beaucoup ; trop.

E òko : entendre ; ressentir.

Être ou avoir été entendu, ressenti ; le fait d'entendre, de ressentir.