Assurément, certainement ; e hoì ! : bien sûr !

Monstrueux.

E hoki : flairer, sentir, humer. Se référant à la coutume polynésienne de se frotter le nez pour se saluer, il signifie désormais embrasser et bisous en termes familiers. Nui te hoki (ia òe) = grosses bises (à toi).

E hoko : troquer ; désormais hoko atu = vendre ; hoko mai = acheter.

Te honu : la tortue marine.

Mot base : être docile, soumis, obéissant ; la docilité.

E hooi : laver, nettoyer.

Te hooina : action de laver, lavage ; lieu où on (se) lave.

E hooniko : avaler sans mâcher, d'un seul coup, avec gloutonnerie.

Te hope : le derrière, le bout, la partie, le morceau, la moitié ; mi, demi.

Paresseux, fainéant, oisif ; faible, peu courageux.

Te hopeka : la partie ; le chapitre.

Être malade, presque handicapé ; te poì hōpī, les malades.

Mot base : craindre, avoir grand peur ; la crainte, la «trouille».

E hopu : saisir à bras le corps ; étreindre, enlacer.

Te hora : l'heure ; être l'heure : ua hora ! c'est l'heure !

Jeune, neuf, nouveau.

Te hōupo : le coeur ; du coeur.

Du français, cheval. On trouve aussi hovare, horave, soare, sorave.

Un pet, une explosion ; péter, produire une détonation.

1)- Démonstratif de rappel qui renvoit à ce dont on vient de parler : hua vehine : cette femme (dont on vient de parler) 2)- E hua : retourner quelque part ; répondre à quelqu'un, répliquer (hua atu/haahua atu). 3)- Simple, simplement, sans sophistication.

Te huaa : la famille, le clan, le lignage. Te huaa haè, la maisonnée ; Te Huaa ènana, la nation marquisienne.

Te huaahaè : le foyer, la maisonnée, la famille.

Être ou avoit été retourné quelque part ; le retour.

Te huhu : les vers qui rongent le bois, termites ; poudre, poussière.