Ce site est avant tout dédié à la langue marquisienne ; il propose des articles variés rédigés par Jacques Iakopo Pelleau, des études de vocabulaire, une bibliographie, les prières et la liturgie catholique dominicale à venir. Dans ce menu, les articles les plus anciens se trouvent tout en bas de la page.
Sont aussi à disposition du visiteur quelques chansons marquisiennes et leur traduction ainsi que de nombreuses vidéos en langue marquisienne.
Un cours d’initiation à la langue marquisienne, te èo ènana/ènata, agrémenté d’un support audio, peut y être consulté aux côtés d’un lexique de base français-marquisien.
L’Histoire des îles Marquises y est aussi racontée sous la forme de 66 podcasts ponctués de chansons marquisiennes et de 6 vidéos inédites.
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Na tēnei tohua niutavavā e haakāìè i te èo ènana ; e hakaìteìa ai te mou hātika tekao patuìa e Jacques Iakopo Pelleau atii me te mou tekao kaitutoìa i ùka he èo ènana/ènata, te tau kōtūòmia taetae oko me te tau pure tominika o te haatià katoriko. Mea nui atii te tau èo taki èka me te tau atavii ma he èo ènana. I hua hope, ma àò aè te tau hātika i patuìa to mua.
E koàka ai oti i te tau hāoè te hakako mai i te èo ènana ma òto o tītahi hakakoìa hakatu māeka no âtou.
Tōtahi atu, ua ìò te « Âkakai o te Henua ènana » he hope taetae oko o tēnei tohua niutavavā. A hakaòko atu i te 66 haamevahaìa èo ; a tiòhi atu i nā atavii e ono e tapatapa ana i hua âkakai taetae nui !
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ÉTYMOLOGIE PROBABLE DU MOT « HAKAÌKI » (28/04/2023)
Depuis la création des communes en Polynésie française en 1972, c’est le mot « hakaìki », désignant les chefs traditionnels d’autrefois, qui est utilisé pour désigner les « maires » des îles Marquises. Pour expliquer la signification de ce mot, il était logique, à l’époque, de se baser sur le mot tel quel, composé du préfixe factitif « haa-, haka- » (Signifiant « faire ») et du mot « ìki », dont tous les Polynésiens connaissent la signification de « petit ». Cet article de Jacques Iakopo Pelleau propose une nouvelle piste bien argumentée...
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LES TROIS PREMIERS BAPTISÉS DES ÎLES MARQUISES À TAHUATA EN 1839
Les premiers missionnaires catholiques français sont arrivés à Tahuata le 6 août 1838. Ce document en latin est la première page d’un registre commencé en 1839 ; il provient des archives de l’évêché de Taiohae et présente le nom des trois premiers baptisés des îles Marquises à Tahuata.
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10 SEPTEMBRE 1852 - REDDITION DE TEMOANA AU COMMANDANT BOLLE
Le 10 septembre 1852, le chef Temoana signe sa reddition et abandonne toutes ses terres au Commandant particulier Salomon Bolle qui l’envoie ensuite en captivité à Tahiti avec Vaekehu, son épouse. Comment en est-on arrivé à une telle extrémité dont l’issue aura d’importantes conséquences sur la suite de l’Histoire de Nuku Hiva ?
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20 MARS 2022 – COMMÉMORATION MORT DU CHEF PAKOKO - EXPOSÉ HISTORIQUE (VIDÉO)
Intégralité de l’exposé historique au cours duquel Jacques Iakopo Pelleau tente de préciser les circonstances ayant conduit à l’exécution du chef Pakoko, à Taiohae, Nuku Hiva. C’est à l’emplacement même du procès, sur la colline Tuhiva, en vue du lieu de l’exécution, que Maria Aka-Taupotini a filmé le déroulement de l’intervention avec son smartphone. Koùtaù nui ia òe, e Maria !
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L'année 1845 et la mort de Pakoko - Audio
À l’occasion du 177ème anniversaire de la mort de Pakoko (21/03/2022), Jacques Iakopo Pelleau a enregistré une nouvelle émission réécrite à la lumière de nouveaux documents qui permettent de préciser le lieu exact de l’exécution du grand chef le 21 mars 1845.
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HOMMAGE AU DOCTEUR LOUIS ROLLIN (1887-1972)
Le 5 janvier 2024 marque la 52ème commémoration de la mort du Docteur Louis Rollin, l’homme qui sauva les Marquisiens de l’extinction.D’un total avoisinant les 80000 en 1800, le nombre des Marquisiens était tombé à 3116 en 1911, puis à 2094 en 1921, soit une perte de plus de 1000 personnes en 10 ans. Sans les soins assidus du Docteur Rollin arrivé à Nuku Hiva en 1923, 1000 autres Marquisiens seraient morts au cours des années 1930, et 1000 autres au cours des années 1940. En 1945, à la fin de la guerre, combien de survivants aurait-on pu compter ?Rédigé en…
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MARS 1863 : CODE DORDILLON / DE LA RICHERIE – Intégralité des textes officiels
L’année 1863 est l’« Annus horribilis » des ènana, particulièrement ceux de Nuku Hiva. Elle marque l’histoire des îles Marquises par la publication conjointe de Mgr René Ildefonse Dordillon et du Commissaire impérial Louis Eugène Gaultier de la Richerie d’un document intitulé du « Règlement du 20 mars 1863 pour la conduite des indigènes de l’île Nuka-Hiva » qui porte une interdiction massive sur tout ce qui faisait l’âme des Marquises et des Marquisiens.
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18 JUIN 1842 : RAPPORT DE DUPETIT-THOUARS SUR L’ANNEXION DES MARQUISES
Rapport adressé par le contre-amiral Abel Dupetit-Thouars à M. le Ministre de la Marine et des Colonies, sur la navigation de la frégate la Reine-Blanche, après son départ de Valparaiso, et sur la prise de possession de l'archipel des îles Marquises.
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HISTORIQUE MISSIONNAIRE DE UA POU : 1840 - 1904
Texte dactylographié autrefois par le Père Alain Gilbert, retranscrit par Jacques Iakopo Pelleau, dans lequel on découvre un historique missionnaire de Ua Pou depuis 1840 jusqu’à 1904, date de la séparation entre les Églises et l’État.
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AOÛT 1838 - NUKU HIVA : ESCALE ILLUSTRÉE DE DUMONT D’URVILLE
Du 26 août au 3 septembre 1838, après avoir parcouru l’Atlantique, fait une halte au pôle sud et pénétré le Pacifique, l’Astrolabe et la Zélée, deux corvettes françaises commandées par Dumont d’Urville, font, à Nuku Hiva, une courte escale illustrée par des artistes d’exception dont les œuvres sont présentées dans cet article émouvant.
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DEGRÉS DE PARENTÉ (Marquisien-français) - TE HAKATU O TE HUAAHAÈ (NUKU HIVA)
E aha te hakatu o te huaahaè ? O ai to òe motua tuaana ? O ai to òe kui teina motua ? Na tēnei tumutekao e haamāàma oti ia òe.Quelles sont les appellations traditionnelles des degrés de parenté en marquisien ? Jacques Iakopo Pelleau fait ici le point des données qu’il a rassemblées pour vous.
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ORIGINES DE TEMOANA : DE NOUVELLES QUESTIONS…
Entre les détails du journal du missionnaire Crook (1798), qui fondent la généalogie usuelle de Temoana, et ceux donnés par le Pasteur Stewart en 1829 qui la remettent en question, la vérité historique cherche son chemin ; parviendra-t-elle un jour jusqu’à nous ?
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L’HISTOIRE MÉCONNUE OU INCONNUE D’UNE 3ème VAEKEHU, PRINCESSE-HAATEPĒIÙ DE NUKU HIVA
Tous ceux qui s’intéressent à l’histoire des Marquises savent-ils qu’une « troisième » Vaekehu, du même sang et de même rang que les deux autres, aurait pu changer le cours de l’histoire ?
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1829 - Charles S. Stewart : extrait de « A Visit to the South Seas » - Traduction inédite (Escale du navire américain Vincennes à Nuku Hiva)
Entre le 26 juillet et le 13 août 1829, le sloop de guerre américain Vincennes fait une escale à but humanitaire à Nuku Hiva ; à son bord le Pasteur Charles Samuel Stewart nous raconte la découverte des vallées Teii de Taiohae, des territoires Hapaa de Teuhitua et Vaituku, de la vallée Taioa de Hakaui, des vallées Taipi de Hooumi et Taipivai et de la vallée Hapaa de Hakapaa. Il nous aussi fait part de ses réactions d’Américain et de pasteur…
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« PETO » vs. « NUHE » : HISTOIRE DE CHIENS MARQUISIENS
Le mot français « chien » se traduit par « peto » dans les îles de Nuku Hiva, Ua Pou et Ua Huna, et par « nuhe » à Hiva Oa, Tahuata et Fatu Iva. Pourquoi cette différence d’appellation pour un animal aussi commun ?
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« Essai en vue d’un Dictionnaire et d’une Grammaire (…) des îles Marquises - Crook - 1799 », traduction de Jacques Iakopo Pelleau
Suite à sa traduction du « Journal Marquisien, 1799-1806 » d’Edward Robarts publié aux éditions Haere Pō de Tahiti fin 2018, l’éditeur Robert Koenig, attira l’attention de Jacques Iakopo Pelleau sur l’importance historico-linguistique du premier dictionnaire marquisien-anglais initié par le Pasteur William Pascoe Crook en 1799, lors de son long voyage de retour en Grande-Bretagne au terme d’un séjour de vingt mois sur la Terre des Hommes.Motivé et touché par la participation active du jeune Timautete embarqué avec Crook, Jacques Iakopo Pelleau s'est lancé dans la traduction de cet ouvrage primordial.
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SITE DE PAEKE - VALLON DE VAITAVII - VALLÉE DE TAIPIVAI - NUKU HIVA
Situé dans la vallée de Taipivai à Nuku Hiva, le site de Paeke daterait du XVIème siècle; il est le seul de l’île à comporter autant de grands tiki, dix en tout, répartis sur les différentes plateformes de pierres, ou paepae.
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HOANE, chanson de RATARO
En la mémoire de Hoane, bébé de Ua Pou décédé le 06/10/2019 par manque de moyens matériels pour le sauver.
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1840 - Capitaine M.F. Bernard : « Mission du brick le '' Pylade '' aux îles Marquises »
Entre avril et mai 1840, le capitaine Bernard arrive aux Marquises sur le Pylade ; il mène une campagne de reconnaissance de l’état de l’archipel, probablement dans la perspective de l’annexion qui se déroulera deux ans plus tard. Malgré sa brièveté, ce rapport non officiel nous donne une foule de détails intéressants sur Nuku Hiva, Ua Pou, Tahuata et leurs chefs : Temoana, Heato et Iotete. (10 pages)
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1798 - Edmund Fanning : extrait de « Voyages round the World » - Traduction inédite de l'anglais
En mai 1798, le navire américain Betsey fait escale à Vaitahu (Tahuata) et Taiohae (Nuku Hiva) ; il n’est que le troisième ou quatrième vaisseau à s'arrêter dans cette dernière. Il est commandé par le capitaine Edmund Fanning. À son bord, se trouve aussi le Pasteur William Pascoe Crook qui vient de passer un an à Tahuata et qui restera jusqu’en janvier 1799 à Nukuhiva. À l’intention des francophones, Jacques Iakopo Pelleau a sélectionné et traduit la soixantaine de pages relatant les détails inconnus et passionnants de ces deux escales jamais encore traduits en français. (55 pages)
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PAEPAEAKI, NOM ANCESTRAL OUBLIÉ DE LA BAIE DE TAIOHAE ?
En mai 1798, le navire américain Betsey fait escale à Taiohae ; il est commandé par le capitaine Edmund Fanning. À son bord, se trouve aussi le Pasteur William Pascoe Crook qui vient de passer un an à Tahuata, et qui restera jusqu’en janvier 1799 à Nuku Hiva. Dans son journal, Fanning fait la description de Taiohae qu’il nomme « Tiuhoy » ; il écrit aussi que la partie de la baie où leur navire est mouillé (face à la plage de Vainahō) se nomme « Payepayeachee », Paepaeàki. Ce nom magnifique est-il le nom ancestral oublié de la Baie de Taiohae ?
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1823 - Gabriel Lafond de Lurcy : « Voyage aux îles Marquises »
Gabriel Pierre Lafond de Lurcy (1801-1876) est un navigateur, explorateur et aventurier français qui participa à l'indépendance du Pérou et de l'Équateur, et comme représentant du Costa Rica en France. En 1823, José de San Martín (« Protecteur » du Pérou dont il vient de proclamer l’indépendance) lui donne le commandement de la goélette Estrella pour intercepter les navires espagnols opérant au nord de Callao, et chercher un lieu de déportation pour les opposants ; il part vers les Marquises et Tahiti. (44 pages)
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1817 - Camille de Roquefeuil : extrait de « Journal d'un Voyage autour du Monde »
Le 11 octobre 1816, le navire français le BORDELAIS quitte Bordeaux pour une campagne commerciale au tour du monde qui durera trois ans et un mois ; il est commandé par le capitaine Camille de Roquefeuil. Afin d’hiverner, le navire arrive aux îles Marquises en décembre 1817 : c’est le 1er navire français à y faire escale depuis le passage de Marchand sur le SOLIDE en juin 1791. Cette publication est composée de l’extrait du journal du capitaine qui raconte l’escale de deux mois dans l’archipel de la Terre des Hommes. (50 pages)
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Récit de William Leblanc : ce qu'en pense l'ethnologue et anthropologe Robert Carl SUGGS
Carl Robert SUGGS est un archéologue et un anthropologue américain qui a mené de nombreuses campagnes de fouilles à Nuku Hiva tout au long des années 1950-1960. Il donne ici son avis sur le « Récit » de William Leblanc, autrefois publié sous le titre « Souvenirs d'un Vieux Normand » et réédité en Polynésie française en 2006.
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28 JUILLET 1595 : Première messe catholique aux îles Marquises
Pour les Catholiques marquisiens, c’est le vendredi 28 juillet 1595 que l’Évangile fut lu pour la première fois sur le sol de la Terre des Hommes ; c’était en espagnol, à Vaitahu, île de Tahuata.
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HAAKĀÌÈÌA IA LOUIS ROLLIN (1887-1972)
Te 5 no Èhua, e â mea haamaakau i te mateìa o te tātihi Louis Rollin i te èhua 1972. U haapohuè mai Louis Rollin i te huaa ènana me io te kaò ananu ìa. Ua patuìa e Jacques Iakopo Pelleau tēnei tumutekao i te èhua 2016, ia vaièiìa i te haèmate no Taiohae te ikoa o hua tātihi pāòkoòko ; i tāpiiìa ai io te mou àpapa o hua haèmate Louis Rollin.
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MOU PONATEKAO NO TE TŪAKO
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NA ÒE TA ÒE (OTI ?)
Oia te avetekao èo farani peàuìa mai io tītahi pū haamevaha èo e tītahi ènana haatee i te hana tūako : « Tu prends tes responsabilités ! »
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E KOÀKA, AÊ KOÀKA
Ia makimaki te hāoè e hakako mai i te èo ènana, mea hana nui na te mea, mea kē te tau kāneaìa avetekao o te èo ènana, mea kē te tau kāneaìa avetekao o to īa iho èo.
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PĒHEA TE HAAÈO MAI I NĀ MOU PONATEKAO « SERVIR » ME « UTILE/INUTILE » ?
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NOA ATU >>> E AHA À ...
No te haaèo mai i te avetekao « même si », mea nui te ènana e haahana i te ponatekao tahiti « noa atu ». Koè nui !!!
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« Aua òe e hinenaò pu i te vehine/vāhana a te hoa ! »
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HŌHO’A / HOPE’A >>> ATA / PAOÌA
Ma òto o te tau maakau tukuìa e tēia tama ènana, tēia tama ènana io Facebook, ua ìte hae au i nā ponatekao èo tahiti e ùa, o « hōho’ a » me « hope’ a ».
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E AHA TE AUTĀ ?
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PĀHONO >>> HAAHUA ATU...
Mea nui te ènana e haahana nei i te ponatekao tahiti « pāhono » i te kōava o nā mou ponatekao èo ènana e ùa « hua atu » me « haahua atu ».
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TE HONO ME TE HUMU (E hoì ?)
Pēhea hoì te huì mai i te mou ponatekao farani « lien, lier, relier » ?
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E TAAÀU I TE MEHEA
I mua o tītahi hana haakiiete, e taaàu oti tātou i te koakoa, te pekē me te mehea ; i peàu pū ai oti tātou « Auē te kanahau ! » akoè à « Mea paòpaò ! »
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Pēhea te haaèo mai i te « Mairie » me te « Commune » ?
Ia òkoìa hua mou ponatekao io tītahi pū haamevaha èo, u mamae to ù nā puaìka na te mea, i òto o te kāputuèo « Mou Pona Tekao » a te Haè tuhuka èo ènana, enā hoì te ponatekao hei pao no te haaèo mai i hua mou ponatekao farani.
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Pēhea te hana i te hana ?
Mea nui te ponatekao mea hakaìte atu i te hakatu o te hana. Me i òto mai âtou paotū o te kāputuèo a te èpikopo Dordillon.
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KAPINĒ me te mou ponatekao kē
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Me i hea mai oti te ponatekao MAÈ ?
I tēnei mou pō, mea nui te poì hou e haahana hae i te ponatekao « maè ».
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‘AUA’A A’E >>> MEITAÌ AI À
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NĀ KŌMAÌ ÈNANA E ÙA
Te toitoiìa, aê kōmaì to te vehine, no te vāhana anaiho te kōmaì, mea à ua hani te ènana e peàu « kōmaì » mea haaèo mai i te ponatekao farani « sexe »… Ua ìte meitaì te nuiìa o te ènana/ ènata i te puke ponatekao hauhau i ùka o nā kōmaì e ùa. Ia ūiūiìa atu e au, aê he ènana i makimaki e tuku mai kata koè i te tau ponatekao hei. Ma òto o ta ù umihiìa ponatekao, u makimaki au e ìte e aha te mou ponatekao hei pao mea hakaìte atu i te tau hope o te kōmaì vāhana/ vehine.
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TAUI >>> KĒHUÌ
Me i te èhua 2004 tihe i te â nei, u òko hae ìa te ponatekao èo tahiti « taui » ma he èo ènana.
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Te âkakai me te haakakai (Pēhea te vaeìa ?)
No te ponatekao farani « histoire », e toù ponatekao ènana. Pēhea hoì te vaeìa ?
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Tau mēmau mea utu...
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E TE TOA E (Tukuìa maakau na ù ta ù pu)
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Paetu, Pahutake ...
A mou pō i tēnei, u hakaìte atu au ia ôtou i te ponatekao kākiu « moenahu / moenehu », o « u haatūhaèìa » te haaviviniìa. Ma hope mai, i òto o to ù tatauìa mautahi ananu i te kāputuèo a te èpikopo Dordillon, u koàka ia ù te mou ponatekao, o « haapohuè hakaùa » te haaviviniìa.
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Vaekehu
Ma òto o ta īa pure, ua ape Vaekehu i te tau ètua ènana ia toko mai i to īa tau ati ; aòè âtou i āpuu i ta īa pure vevaò.
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Fa'a'apu me Fa'a'amu
I Motutini farani nei, mēìa i te ìi haaviviniìa o nā mou ponatekao èo tahiti e ùa, o « fa’a’apu » me « fa’a’amu », u haahana hae ìa e te nuiìa o te tama ènana atii me te poì farani.
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